De la bière pour faire descendre le welsh !

Pour fêter le retour des beaux jours, je suis partie de Paris le temps d’un weekend à Lille !

Lille… Une ville forte sympathique, et facilement accessible depuis Paris. C’est la destination rêvée pour quelques jours d’évasion, avec son architecture et son histoire très riches… Sans oublier ses spécialités culinaires … également très riches !

Bien sûr, il y a la gaufre : sucrée, avec ou sans citron, au chocolat, aux spéculoos… Il y en a pour tous les goûts.

Mais la découverte de mon weekend, fut le welsh ! Un plat à base de pain imbibé à la bière et agrémenté de jambon et de maroilles – dans la version que j’ai prise -, je peux vous dire que cela tient au corps ! Spécialité Ch’ti par excellence, je tenais absolument à la goûter durant mon séjour lillois.

Je ne fus pas déçue : je n’avais encore rien mangé de tel. Et sous les yeux ébahis de l’amie qui était avec moi, je suis même parvenue à finir mon plat. Pour atteindre cet exploit, je recommande de prendre de la bière avec le welsh, cela aide à faire descendre le tout et cela désaltère entre les bouchées !

En revanche, je vous déconseille de tester le welsh sous chaleur caniculaire … A moins que vous aimiez les challenges !

Recommandation d’adresse pour déguster un bon welsh : L’estaminet Au Vieux de la Vieille sur la très pittoresque Place aux Oignons

Flash back luxembourgeois

L’année dernière, début juin, je me suis rendue au Luxembourg voir une amie. Une première pour moi qui n’étais encore jamais allée dans ce petit état frontalier à la France. Le temps d’un week-end (il ne faut pas forcément plus de temps pour visiter Luxembourg…), j’ai donc découvert l’architecture pittoresque du centre ville (à l’allure presque de village par endroits), le château de Vianden et son style rhénan, ainsi que l’appellation viticole de Wormeldange (l’une des plus connues du Luxembourg) !

Situé à l’est de la ville de Luxembourg et à proximité de la frontière avec l’Allemagne, le vignoble de Wormeldange se dresse sur des coteaux en bord de Moselle. Une escapade sympathique à prévoir si vous êtes dans le coin ! Au départ de la cave coopérative, des parcours de randonnées sont balisés à travers les vignes. Le relief de l’appellation se caractérisant par des buttes et des collines, quelques montées et descentes (brèves, mais plus ou moins intenses!) sont nécessaires pour apprécier les différents panoramas sur le vignoble et la Moselle en contre-bas. Vous sillonnerez des petits chemins, tantôt en plein milieu des vignes, tantôt en sous-bois, tantôt traversant des villages… Vous serez surpris de tomber sur quelques maisons d’architecte et voitures luxes au détour d’un passage (bienvenue au Luxembourg !), avant de retrouver une ambiance plus bucolique à l’approche d’un champ.

Une fois la boucle finie, vous serez de retour à la cave coopérative. Après avoir parcouru ses vignes, allez maintenant en apprendre un peu plus sur les vins de Wormeldange. Vignoble mosellan, leurs caractéristiques sont assez proches des vins français situés de l’autre côté de cette même rivière. Pinot gris, Pinot blanc, Riesling… sont les principaux cépages de la région, et servent à la fabrication de crémants, vins blancs, vins rouges ou encore de rosés. Une bonne alternative pour les amateurs de vins de l’est de France souhaitant découvrir de nouveaux crus !

Retour d’Ibiza au Palo

Début octobre, aéroport d’Eivissa- es Colodar à Ibiza. Avec une amie nous attendons notre vol pour Paris après quelques jours de rêve passés sur cette île espagnole en pleine Méditerranée. Nous avions pris un peu délai pour être sûres de ne pas rater notre avion. Errant alors dans la zone de commerciale de l’aéroport pour faire passer le temps, nous tombons sur un stand de dégustation gratuite d’un alcool local : le Palo… Nous sommes, bien évidemment, directement aller déguster cet alcool qui semblait fort sympathique !

Mais qu’est-ce que donc alors que le Palo ?

Le Palo est une liqueur originaire de l’île de Majorque dans les Baléares (archipel dont dépend également Ibiza). Elle est produite à base d’une infusion d’écorce de quinquina et de racines de gentiane avec du saccarose, du sucre caramélisé et de l’alcool éthylique.

L’appellation géographique Palo de MajorqueD.O. Palo de Mallorca en espagnol – est reconnue est 1993.

Comment l’apprécier ?

Son goût se caractérise par des notes herbacées, du fait de la quinquina et de la gentiane, et des arômes de caramel. Il peut se savourer de différentes manières :

  • Pur – ma préférée !- en y ajoutant également des glaçons et quelques gouttes de citron,  
  •  Mélangée avec un peu de Gin,  
  • Associée avec une boisson gazeuse, comme du Schweppes, pour en faire un cocktail rafraîchissant

A vous de tester ces différentes combinaisons et d’apprécier le Palo comme il vous plaira…  A consommer, bien évidemment, avec modération !

Pour ma part, cette découverte m’a appris une chose : il faut savoir savourer ces voyages jusqu’à la dernière minute !

Déconfinement et nouvelles recommandations

Pour celles et ceux qui sont à la recherche de nouvelles adressesse retrouver et savourer ensemble les premiers jours de l’été, Pauline’s Wine a ajouté de nouvelles références à sa carte « Des idées à déguster »….

https://pauline.wine/?page_id=477

Quand la gastronomie se met à l’écologie !

Comme certainement beaucoup d’entre vous, je profite de ces temps de confinement pour élaborer des recettes inédites et tester de nouveaux accords mets et vins. Il me semble aussi que cette crise sanitaire mondiale doit nous pousser à reconsidérer l’impact de notre mode de vie sur l’environnement, et voir ce que nous pourrions améliorer. L’alimentation est sans doute un paramètre essentiel à prendre en compte dans cette réflexion (du moins, c’est mon avis). Dans cette optique, et en m’inspirant d’un épisode de Top Chef (à force de regarder l’émission tous les mercredis soirs, on finit par avoir des idées…), j’ai décidé de me lancer dans la conception d’un accord mets et vin respectueux (le plus possible) de l’environnement tout en étant gouteux ! Voici ma toute première recette gastronomique-écologique.

Je me suis tout d’abord penchée sur le vin : dans une boutique bio près de chez moi, j’ai choisi un rosé bio IGP Pays d’Oc 100% grenache. Ayant étudié en détails ces labels, je sais qu’ils sont garants de qualité et respectueux des produits et des méthodes de production. Les rosés languedociens faits à partir de grenache, eux, sont généralement des vins frais, agréables à boire, et facile à associer avec diverses préparations.

La deuxième étape – et pas la moindre – fut la conception du plat. J’ai pris le parti de faire un plat végétarien (la production des légumes étant moins polluante que celle de la viande), en choisissant des produits de saison qui se marient bien avec le vin acheté. Suite à quelques recherches sur ces points, j’ai retenu comme ingrédients la courgette et l’épinard. Puis, le vin étant du sud de la France, j’ai cherché l’inspiration dans la cuisine méditerranéenne. Une de mes proches m’ayant donné du basilic qu’elle fait pousser sur son balcon, je suis partie sur l’idée d’un pesto et de remplacer les pâtes par la courgette. Ainsi, je suis arrivée au plat suivant : tagliatelles de courgettes avec son pesto épinards, basilic et piment d’Espelette !

Tagliatelles de courgettes, pesto -épinards-basilic-piment d’Espelette, tuile Comté-piment d’Espelette et rosé IGP Pays d’Oc bio 100% grenache

Troisième étape de la démarche : les courses ! Les épinards et les courgettes ont été achetés auprès du marché solidaire mis en place dans ma ville depuis le début de confinement. Outre le fait d’avoir des produits de proximité (et donc avec une faible emprunte carbone), l’approvisionnement auprès de ce marché permet aussi de soutenir les agriculteurs et les maraichers fortement touchés par la crise économique actuelle. Pour l’assaisonnement des plats (huile d’olive, sel, poivre, herbes, épices…), j’ai fait avec ce que j’ai trouvé dans mes placards et en y allant à l’inspiration : c’est ainsi que le piment d’Espelette s’est retrouvé dans ma poêle ! C’est également en suivant cette logique « d’exploitation des fonds de placards » que pour le pesto, plutôt que d’acheter les pignons pins mentionnés dans la recette « d’origine », j’ai préféré finir un paquet de noix de cajou qui trainait sur une étagère.

Ensuite, place à la préparation. Là aussi, quelques gestes simples permettent de rendre la recette plus écologique. A l’aide d’un économe j’ai fait des tagliatelles de courgettes (en gardant la peau). Je les ai cuites quelques minutes au micro-onde avec un cuit tout vapeur (cette cuisson rapide permet d’économiser de l’énergie), et j’ai gardé l’eau utilisée pour faire la vaisselle. Puis, les tagliatelles ont été réservées au frais. Pour le pesto, j’ai émincé deux échalotes, épluché trois gousses d’ail, et coupés en gros morceaux les pousses d’épinards (en retirant les tiges) et les feuilles de basilic. Comme le dit si bien Lavoisier « rien ne se perd […] tout se transforme », les parties non utilisées des produits ont atterri au composte, elles seront réutilisées pour le jardinage une fois transformées en terreau. Ensuite, j’ai fait revenir l’ensemble des ingrédients dans une poêle avec de l’huile d’olive – le but de cette étape est principalement de faire réduire les feuilles d’épinards. J’ai relevé le tout avec des herbes de Provence et du piment d’Espelette AOP, et j’ai ajouté les noix de cajou. Enfin, j’ai mixé l’ensemble au robot électrique jusqu’à obtention d’une texture homogène. Ayant choisi de servir mon plat froid, j’ai réservé mon pesto épinards-basilic au réfrigérateur.

Pour donner un peu de croquant et de gourmandise à ma création culinaire, j’ai réalisé une tuile de fromage. Pour se faire, j’ai rappé un morceau de Comté (également trouvé dans mon réfrigérateur) et ai fait des petits « dômes » de fromage que j’ai saupoudrés de piment d’Espelette (pour faire un rappel au pesto). J’ai fait fondre ces dômes sur plaque pendant quelques minutes au four en mode grill jusqu’à obtenir des tuiles légèrement grillées (4 minutes maximum). Ces dernières doivent ensuite refroidir à l’air libre. Là encore pas de gâchis : le fin gourmet sur pattes canin qui vit chez moi s’est porté volontaire pour faire disparaître les croutes de fromage qui restaient (il adore manger ça !!!).

Il ne reste plus qu’à déguster

Une fois toutes les préparations refroidies, il ne reste plus qu’à les disposer dans une assiette – selon votre préférence –, ouvrir la bouteille de rosé et déguster !

P.W.

https://pauline.wine/?page_id=611

Suite (et bientôt fin) de l’histoire du vin ! Retrouvez sur la page (lien ci-dessus) toutes les anecdotes et profitez du confinement pour faire de belles découvertes sur le vin !

To be dry or not to be dry… That is the question !

1er février… Achèvement de ce mois de janvier. Je ne sais pas si certain(e)s d’entre vous qui me lisez, vous le savez ou non, mais ce mois de janvier 2020 devait marquer la première édition du « Dry January » français. Devait… En effet, depuis l’annonce de l’évènement en novembre dernier, deux camps s’opposent, dans la société comme en politique : ceux qui sont pour et ceux qui sont contre. Finalement, le non l’a « emporté », puisque, alors que la fonction publique devait se trouver au cœur de cette action, l’Elysée a retiré son soutien.

Quelle est ma position sur le sujet ? Et bien… tout d’abord je dois vous avouer que je n’ai absolument pas suivi le janvier sans alcool. Cela dit, je trouve important de rappeler les dangers et les dérives liés à l’alcool. Le Monde a récemment publié un article sur le « Dry January » dans lequel il faisait état du nombre de personnes mortes à cause de l’alcool – soit 41 000 décès chaque année en France*… et cela donne matière à réfléchir.

Après, faut-il, pour lutter contre ces dérives, prévoir un mois encourageant la non-consommation d’alcool ? Le mois de janvier a, certes, comme avantage de venir après les périodes de fêtes, lors desquelles nous pratiquons souvent l’excès. Mais, personnellement, je ne pense pas qu’il faille cantonner la prévention contre les dangers de l’alcool à seulement un mois. C’est un sujet qui doit revenir de manière récurrente.

Pour tout vous dire, j’ai profité de ce mois sans alcool pour faire une sorte de test « psychotechnique » de l’amatrice d’alcool (surtout de vin) que je suis. Je consomme de l’alcool, essentiellement, quand je suis « en société » : à l’occasion de sorties entre ami(e)s ou lors de repas de famille. Pourquoi à ces moments plus qu’à d’autres ? Parce que pour moi le vin est associé au plaisir : plaisir de déguster, plaisir de partager, plaisir de passer un bon moment avec les personnes qui m’entourent… Ces contextes conviviaux, amicaux, faits de détente, rires et de joies, semblent idéaux pour prendre un verre… Mais – parce qu’il y a toujours un mais, une autre possibilité que celle choisie -, si je me passais de ce verre à ces occasions, ces dernières ne perdraient pas pour autant de leur charme. Une sortie entre amis est tout aussi agréable en prenant un verre de vin qu’en commandant un smoothie. Les dîners de famille étaient déjà marqués par la joie de vivre à l’époque où j’étais encore au Champomy…

Alors oui, il est certain que je continuerai à savourer un verre en terrasse ou autour de la table famille. Cependant, des initiatives telles que le « Dry January » doivent exister pour prévenir des dangers liés à une grande consommation d’alcool… afin que d’être sûr que la dernière sortie entre amis ou le dernier anniversaire de famille ne soit pas les derniers des derniers.

P.W.

*Source : « Alcool : Comment le lobby sape la prévention », Le Monde, 22 janvier 2020

A White, Red and Gold Christmas !

Demain c’est le réveillon de Noël !

Vous êtes certainement tous attelés aux derniers préparatifs – courses, cuisine, cadeaux, animation… – et parmi eux figure forcément la décoration de la table !

Pour vous, Pauline’s Wine a imaginé un dressage blanc et rouge avec des notes dorées… Simple mais efficace ! Parfait pour une table magnifique autour de laquelle tous vous rassembler !

Dressez une belle nappe rouge sur laquelle vous placez un chemin de table blanc. Choisissez une vaisselle blanche et épurée. Puis, agrémentez votre table de quelques touches dorées et lumineuses pour rappeler l’esprit de Noël… Et le tour est joué !

Joyeux Noël à toutes et à tous !

P.W.

Crédits photographiques : Pauline

Un cadeau de Noël mensuel

Il est vrai qu’actuellement, le climat socio-économique français n’est pas au beau fixe. Et les récentes tensions ne laissent que peu de place à la joie et à la magie.

Pourtant, depuis quelques semaines, guirlandes et autres décorations illuminent avenues, rues, magasins, façades des maisons… Progressivement, les effluves de sapin s’imposent. Chacun commence à s’organiser pour retrouver ses proches. Les familles réfléchissent aux mets et délices qu’ils proposeront à leurs convives. A la télévision, les téléfilms font l’éloge de la féérie et de la magie des fêtes de fin d’année.Et les dates du calendrier de l’Aven avancent de plus en plus vite… Une seule et même réponse à ce phénomène généralisé, que nul ne peu nier :

Noël arrive !

Pour vous aider à trouver la perle rare, Pauline’s Wine dédie sa recommandation de ce mois de décembre à la carte cadeau de Petit Ballon !

Il y a deux ans, un des membres de ma famille m’avait offert pour Noël une carte cadeau Petit Ballon. De quoi s’agit-il ? Petit Ballon est une entreprise qui, entre autres choses, envoie chaque mois à ses abonnés deux vins à découvrir.

Pour l’offrir à un de vos proches, rien de plus simple : il vous suffit de vous rendre sur le site de Petit Ballon et cliquer sur l’onglet « J’offre un abonnement« . Puis, vous choisissez la formule que vous souhaiter offrir.

Le jour de Noël, remettez la carte cadeau à la personne désignée (vous pouvez même personnaliser votre cadeau avec un petit mot). Cette dernière n’aura qu’à activer son abonnement sur le site avec le code inscrit sur la carte, et attendre de recevoir ses bouteilles au fil des mois

Un cadeau parfait pour savourer Noël même au-delà du 25 décembre !

P.W.